Leçon de l'Histoire

Article du Monde aujourd'hui :
" Gérard Le Gall a sonné le tocsin, il y a une dizaine de jours, devant Jean-Louis Bianco et François Rebsamen, les deux directeurs de campagne de Ségolène Royal. Il a redit son inquiétude mercredi matin, à François Hollande et Julien Dray : "La situation politique est une patinoire. Tout le monde peut chuter, y compris Sarkozy. Mais sur cette patinoire, Bayrou avance, avec un phénomène de vases communicants entre son électorat et l'électorat Royal. Il y a donc désormais un risque statistique réel pour Ségolène au premier tour." Gérard Le Gall est l'homme des sondages de la campagne socialiste. Il était déjà celui de Lionel Jospin lors de la campagne présidentielle précédente. C'est notamment lui qui, quatre jours avant le 21 avril 2002, avait remarqué au cours d'une réunion au QG de la campagne socialiste : "Statistiquement, il y a quand même une proximité inquiétante des intentions de vote entre Le Pen et Lionel…" La phrase n'avait alors suscité qu'un scepticisme général chez les jospiniens."

Si l'Histoire se reproduit ce sera encore sans doute parce que les Français (par "Français" dans la bouche d'un politique il faut entendre "les gens qui n'ont pas fait l'ENA") n'ont rien compris.

Allez, un p'tit coup d'guignolot :



COMMENTAIRES :
MaTT a dit...
salut mon Toffounais....
j ai une perle ...ca va te plaire oh oui ca va te plaire......
http://www.fluctuat.net/3118-Chansons-de-campagne.

-toff a dit...
Mmmmmmmmmhhhhhh, tout à fait réjouissant. D'ailleurs je vous conseille à tous de faire un tour régulier sur Fluctuanet : très bon, toi prendre. J'avais passé il y a quelques temps le truc de Chirac (version Goldorak). J'avoue que les autres sont entièrement comestibles également. Quand les cons parlent aux cons ça donne quelque chose de bon...

Pipo a dit...
On dirait que Lionel il mâche des morceaux de soce (attention, ceci n'est pas un jeu de mots) qui se sont sournoisement planqués dans cette zone où il faut travailler au doigt..

-toff a dit...
Lionel est effectivement en train de se battre contre le fameux "petit morceau de soce de 17 heures". Cette lutte d'après collation n'est rien par rapport à la claque qui l'attend quelques jours plus tard mais Lionel ne le sait pas encore. A noter qu'il est depuis ce jour interdit de grignoter entre les repas au parti socialiste.

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